Hayashi Shota [UC]

Bienvenue =D
Le code est bon =P

MINAAA !!! XD bienvenue ^^

Je suis démasquée ... XD

Trop facile, avec ton style de graphe ^^ et le faite que tu en a parler...^^

Ben oui j'suis bête c'est écrit en gros sur le flood ^^
Et c'est fait que mon style est facilement reconnaissable vu que depuis que je me sers de Toshop je fais mumuse avec la lueur externe <33
Breeef trêve de bavardages on floode la >__> sur ma fiche T-T

D'ailleurs faut p'tetre que j'la commence ! =D

Aller au boulôt !!! rahhh totoshop le rêve... enfin je flood encore XD bon courage !!!

Merci de l'accueil Yuka ! =P

EDIT : fini !!


Histoire : Ce fut dans un petit hôpital de Kyoto que naquit Hayashi Shota, deuxième du prénom. En effet, ses parents l’avaient prénommé ainsi en hommage à son défunt grand-père paternel en qui son père avait une grande estime.
Deux parents très heureux de la naissance de leurs fils, il fallait dire qu’il y avait eu quelques complications à l’accouchement, et les médecins avaient failli recourir à une césarienne car Mme Hayashi avait du mal à faire sortir le bébé d’elle-même. Heureusement, elle finit par y parvenir après beaucoup d’efforts, refusant catégoriquement de devoir recourir à des méthodes chirurgicales pour donner naissance à son premier enfant. Serrant la main de son mari, elle fut soulagée quand l’accouchement s’acheva en de bonnes conditions.
La jeune femme alors âgée de vingt-trois ans resta quelques temps encore à l’hôpital et finit par regagner sa modeste demeure avec son mari. La maison n’était pas bien grande, Mr et Mme Hayashi ayant des revenus plutôt modestes. C’était déjà pas mal d’avoir pu acheter une maison plutôt que de louer un appartement miteux.
Kyoto était réputée pour ses décors fabuleux, c’était un peu la capitale religieuse du Japon, avec tous ces temples bouddhistes. Ainsi la maison était entourée de verdure et le paysage était bien agréable à observer.
Shota était donc né dans une famille banale et aux revenus modeste, rien de très original en soi. Il n’eut pas comme certains jeunes une enfance bouleversée avec la mort d’un ou deux parents, l’abandon et la vie d’orphelinat ou encore un père alcoolique battant sa femme et son enfant. Rien de tout ça. La famille du petit garçon ne pouvait pas être plus banale.

Ainsi, son enfance se passa plutôt bien : les parents de Shota n’ayant pas les moyens de lui offrir une école publique, il intégra à l’âge de sept ans une école primaire publique dans laquelle il passa toute sa période d’enfant. Déjà à cette époque il était travailleur, et faisait ses devoirs avec soin. Il était sérieux dans tout ce qu’il entreprenait. Son père, grand fan de basket, lui apprit à manier un ballon et à marquer des paniers très jeune. Et instantanément, Shota se découvrit un don et une passion pour ce sport. La mère regardait ces scènes avec affection. Un père et un fils, s’amusant comme deux complices, n’était-ce pas beau ?

Vint le collège. Encore une fois Shota intégra un établissement public, car les revenus de sa famille n’avaient pas bougé depuis l’école primaire. Son père était épicier et sa mère allait vendre des produits à domicile. Shota avait toujours pensé que ce genre de profession avait cessé depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale mais apparemment il s’était fourvoyé.
Le jeune garçon continuait d’obtenir des notes brillantes et ses résultats plafonnaient autour de 85/100, parfois plus haut. Shota savait depuis son entrée au collège ce qu’il comptait faire plus tard : travailler dans le domaine de la médecine. Et ses parents étaient fiers qu’il ait une telle ambition et qu’il s’y accroche, en ayant des notes fabuleuses.
L’année suivante, qui marqua l’entrée de Shota en seconde année de collège, son père changea de travail et devint employé dans une entreprise de cosmétiques. C’était un peu du travail à la chaîne, mais c’était toujours mieux payé que son ancien métier. D’ailleurs, sa mère, elle reprit le commerce de son mari et se retrouva épicière. Elle avait ainsi beaucoup de trajets en moins. L’argent commençait à rentrer un peu mieux à la maison et deux ans plus tard, le fils prodige pouvait dans un lycée privé assez renommé. Avec les économies accumulées depuis le temps.
Pour remercier ses parents de ce sacrifice, Shota travailla encore plus dur, sans relâche. En deuxième année, il reçut la déclaration d’une jeune fille tout à fait charmante. Toujours le nez dans ses bouquins depuis sa plus tendre enfance, le jeune homme n’avait jamais pris le temps de s’intéresser à l’amour, et il ratait quelque chose. En plus il était plutôt beau jeune homme, mais tellement studieux qu’il en devenait limite transparent. Surpris que cette fille l’ait remarqué, il accepta de sortir avec elle et fut un petit ami exemplaire, contre toute attente. Il n’avait aucune expérience et pourtant, il faisait tout pour la rendre heureuse. Il avait dix-sept ans et avait demandé beaucoup de conseils à sa mère.
Mais un jour, alors que cela faisait au moins quatre mois qu’ils étaient ensemble, la jeune femme prénommée Sachiko le laissa tomber du jour au lendemain sans donner aucune explication. Lorsqu’il voulut la rencontrer pour comprendre ce qui s’était passé, elle refusa, cria et le menaça de raconter à tout le monde qu’il avait voulu abuser d’elle.
Choqué, anéanti, Shota se sentit perdu. Et pour couronner sa douleur, quelques jours après il aperçut son ex petite amie au bras d’un type de troisième année, bien fichu, charmant et populaire. Elle l’avait juste laissé tomber pour un autre, plus cool. Parce que lui était un intello. Voilà tout.
C’est à partir de ce jour que Shota commença à perdre confiance en lui, progressivement. Il redoubla de concentration et d’acharnement dans ses études et décrocha son diplôme de fin d’année de lycée avec brio, avec la fierté et la joie de ses parents derrière.

Entre temps, pendant ses années lycée, Shota avait fait quelques petits boulots pour se faire une petite somme rondelette qu’il avait mis de côté. En fait, il avait carrément laissé tomber sa vie sociale pour étudier et pour obtenir ce qu’il voulait, son diplôme pour pouvoir ensuite entamer de longues études dans la médecine. Il avait mis en suspens sa vie d’adolescent. Lourde erreur, il ne la retrouverait jamais. Voilà une période qu’il ne connaîtrait jamais et il en paierait sans doute les conséquences socialement, plus tard.
A Kyoto, cette ville culturelle, il y avait peu d’universités en médecines qui en valaient la chandelle. Ainsi, grâce à ses économies et à celles de ses parents, il partit pour la capitale, Tokyô et se dégota une chambre universitaire dans l’établissement dans lequel il avait pu aisément s’inscrire. Vu les faibles revenus de ses parents, il avait également eu droit à une bourse d’étudiant et avec tout cela, il put réaliser ses études comme il se devait, dans la capitale.

Après avoir terminé ses études universitaires, notre jeune futur médecin entreprit de faire un stage dans un grand hôpital de Tokyô. Il fut affecté au service neurologie, surveillé de près par un supérieur. Après tout, il n’était que stagiaire, il ne fallait pas qu’il survienne un accident. Cependant, il était tellement compétent qu’on lui confiait de multiples tâches.
Shota s’attacha très vite à un jeune patient de neuf ans qui s’appelait Shohei. Il passait beaucoup de temps avec lui, le soutenant du mieux qu’il le pouvait contre la maladie. Il avait même demandé à son supérieur si c’était possible pendant la période où Shohei serait ici de ne s’occuper que de lui. Sa requête fut acceptée chaleureusement. Avec l’efficacité de leur stagiaire, les supérieurs se seraient mal vus lui refuser une si petite faveur. Et en plus c’était dans le cadre du travail.

Malheureusement, le petit Shohei décéda peu après, et sous les yeux de Shota. Il ne s’en remit pas. C’était l’année suivante, en fait. Il s’était attaché à ce petit comme si c’était son fils. Vu qu’il se donnait à fond dans son travail, il n’avait pas de vie sociale et donc ni de petite amie et encore moins de femme. Ce petit patient était tout pour lui, son ami, la seule personne qui réchauffait son cœur glacé.
Comme je disais, Shota ne se remit pas de la mort du petit garçon et mit fin à son stage avant le délai prévu, sous le regard peiné de ses supérieurs, d’une déçus que leur meilleur élément de stage les quitte si tôt, de deux qu’il ait eu à subir un tel choc et qu’il n’ait pas encore fait son deuil.
Pendant près de deux ans, Shota fut en inactivité totale. Il révisait, relisait des livres de médecine sans conviction. A chaque fois qu’il se décidait enfin de re postuler pour un nouveau stage, le souvenir de Shohei lui revenait en mémoire comme un coup de poing au visage et il ne s’en remettait jamais entièrement. A cause de cela, il serait incapable de travailler dans un hôpital, à présent. Il savait qu’il serait un poids pour son équipe s’il se forçait quand même. A chaque intervention, il reverrait le sourire éteint du garçon le jour de sa mort et serait tellement perturbé qu’il raterait tout.
Ainsi, on pouvait considérer qu’il avait fait toutes ces longues études pour rien, pour abandonner en chemin.
Mais pas tout à fait. Un jour, Shota eut une idée ; il s’était souvenu que dans son lycée, il y avait un infirmier scolaire qui s’occupait des élèves malades ou souffrants. Il décida donc de postuler pour un poste de médecin scolaire dans un lycée : ainsi il serait à nouveau dans cette ambiance qu’il avait manqué à l’époque, serait proche des lycéens qu’il avait si peu côtoyés lorsqu’il en était lui-même un, et pourrait exercer un métier dans le domaine de la médecine. Il avait les compétences et les études requises pour un poste simple comme celui-ci. Et en plus, il ne courait aucun risque d’assister à nouveau à la mort d’un patient, dans un lycée ce serait bien difficile. Si l’un d’entre eux tombait malade, il irait à l’hôpital et s’il devait mourir ce serait là-bas. Sombre pensée, mais si vraie. Après tout, il ne serait qu’infirmier, pour soigner les petits maux et autres.

Sa candidature fut donc acceptée dans le lycée Jiyuu Gakuen, un établissement récent et sympathique.
A présent, cela fait un an qu’il exerce la fonction de médecin scolaire là-bas et il commence à connaître assez bien la plupart des élèves. Cette histoire de KnS l’amusait car le groupe s’est formé à son arrivée, il l’a vu évoluer. Mais lorsqu’ils ont décidé de s’en prendre à la jeune Ishikawa, il ne riait plus. Mais ne voulait pas se mêler des querelles de lycéens. Alors il se tut, regardant de loin comment évoluerait cette histoire. Cela ne faisait que deux semaines que la rentrée était passée, peut-être aurions-nous du positif d’ici peu …
Shota est maintenant très apprécié des élèves, et surtout des filles qui venaient lui demander conseil pour les garçons, croyant qu’il pouvait les comprendre car il était jeune et qu’il avait de l’expérience car il était adulte.
Un jour, Shota reçut une déclaration d’une élève de troisième année qu’il déclina. Cela ne se faisait pas de batifoler avec une étudiante.
Mais il ne baissa pas les bras. On l’aimait bien ici, il était heureux.
Et puis on lui annonça au bout d’une semaine qu’il allait devoir prendre en charge une stagiaire, du nom de Yamamoto Urumi. Une fille ? Ouh là, il était mauvais dans le domaine … depuis Sachiko il redoutait les rapports rapprochés avec le sexe opposé …

Fiche validée, Yaaaaaay !
Bon jeu mon autre moi <33 XD