Hajime Emiko

Elle l’avait écoutait sur toute la ligne, ne disant rien, se contentant juste de le regarder et de l’écouter sagement, et d’une manière très concentrée, avec un regard si innocent, montrant à quel point ses mots, sa manière qu’il avait de s’exprimer pouvait lui faire comprendre et ressentir certaine chose, dans sa façon de parler et de voir les choses. Akari fut prit d’un léger sursaut, avalant difficilement sa salive, par cette phrase, sachant qu’il avait confiance en elle, n’était pas une chose qu’elle aurait vraiment crue possible. Mais ça lui réchauffait le cœur, elle avait beau être une personne avec un fort caractère, ne montrant aucuns sentiments aux yeux de tous, elle en restait tout de même un être humaine, non sur d’elle et éprouvant aussi des sentiments nouveaux et naissants dans sa vie qu’elle n’aurait pas cru possible un jour, que ce genre de sentiments se produiraient et prendraient place dans son cœur.
Akari quand elle lui avait dit, qu’elle allait l'embrasser, elle savait qu’au fond d‘elle, faire ce genre de chose n’était pas du tout bien. Mais elle ne montrait pas son malaise, ni même sa peur ni même ses tremblements ni même cette soudaine envie de pleurer. Qui d‘ailleurs, était incompréhensible pour elle, et qui se demandait pourquoi elle était envahie par autant de sentiments aussi douloureux mais à la fois si forts qu’elle en fut effrayée. Mais elle avait ce don là, de ne jamais véritablement montrer ses faiblesses, même si parfois, en ce moment même il était difficile pour elle, de garder son sang froid. En sachant qu’un baiser, n’est pas une chose qu’on fait en permanence et comme on le veut et avec qui on veut. Elle était sans doute égoïste, c’était vraie et elle comprenait parfaitement Osore, qui lui disait de ne rien faire ne pas l‘embrasser. Mais une partie d’elle, têtue comme elle était ne l’écouta pas le moindre du monde.
Ses lèvres c’était posées sur les siennes mais elle n’avait pas du tout gardé ses lèvres longtemps coller aux siennes, et n‘avait même pas pensé ni même eu l’envie de l‘approfondir, en sachant que si elle l’avait embrassé, c’était pour que ce jeu s’arrête, car elle ne pouvait plus et ne voulait plus jouer à ce jeu, qui n‘était finalement plus aussi drôle qu’au début. Il était devenu lassant, mais surtout très douloureux à poursuivre en sachant que dorénavant, elle éprouvait des sentiments envers son égard, et le fait de l‘avoir embrassé, dans ce baiser dans sa façon de se tenir, montrer clairement aussi bien à ses propres yeux qu’à ceux d’Osore, qu’il signifiait tout de même une chose sentimentale et qu’elle avait éprouvait de l’amour en le lui donnant.


Quand le baiser fut stoppé, elle ne savait pas du tout quoi faire, ni quoi dire, son regard était à la fois vide, mais aussi empli de sentiments et d‘une certaine gêne. Elle ne savait d’ailleurs pas pourquoi son regard était si embrumeux, alors qu’elle ne ressentait aucune envie de pleurer, mais peut-être que le fait, qu’il est mis ses mains sur ses épaules, ayant une compresse assez forte, comme pour la ressaisir et la faire revenir à elle, quand il se mit à lui dire s’il te plaît, elle avait dû mal à croiser son regard en ce moment, mais elle le fit tout en respirant fortement sentant ses épaules se secouer légèrement. Ses mains n’étaient pas du tout rassuranteq mais l‘effrayées surtout, elle avait cette peur si soudaine la rongeant rapidement, son cœur lui faisait mal, aucuns mots ne sortirent et n‘arrivèrent à glisser sur ses lèvres, c’était comme si elle n‘avait plus du tout de voix. Et ce regard qu’il lui lançait, lui donnait envie de partir en courant, pour ne pas avoir à l‘affronter en face, elle ne se sentait plus du tout capable d’accepter ses réflexions, qu’il aurait utilisé pour la rabaisser plus bat que terre, elle souffrait déjà assez, et le fait d’avoir donné ce baiser, était comme une chose mauvaise, et dont elle croyait à avoir à payer les conséquences de cet acte inacceptable.


Osore n’avait pas l‘air sur de lui, et n’avait pas non plus l‘air de savoir quoi dire, il était comme effrayé tout autant qu’elle, est ce que son baiser, son comportement, leurs comportements, leurs paroles, leurs gestes, lui avaient-ilq fait aussi comprendre qu’il y avait beaucoup plus que de la haine entre eux, elle se demande d’ailleurs, si elle l‘avait vraiment haït, elle n’était plus du tout sur de son comportement envers lui, peut-être que ça avait été une manière de l‘attirer, d’être proche de lui, d’être méchante, de tout faire pour le rabaisser, juste pour que son attention soit braqué sur elle … Akari ne dévia pas son regard quand celui-ci le détourna, il prenait une grande inspiration, et elle le regardait légèrement incrédule, qu’allait-il bien pouvoir lui dire maintenant. Elle n’en savait rien, mais elle voulait savoir ce qu’il ressentait en ce moment envers elle, c’était important pour la poursuite de leur histoire…
Elle l’écouta , ses mots, étaient si gentils, si doux si sincère, qu’elle cru qu’elle allait s’évanouir ou bien faire une crise cardiaque, elle n'en revenait pas que ce qu’il se passait, ce qu’il lui avait avoué n’était qu’une illusion, et qu’elle allait se réveiller, et que tout ça n’était pas vrai, mais que c’était juste son subconscient qu’il lui joué des tours du à la fatigue.
D’ailleurs pour être sur que ce qu’il disait été vrai, et que c’était réellement la réalité, elle se pinça la joue avec son pouce et son index. Et elle ressentait un léger picotement et elle savait que c’était vrai et que rien n‘était faux. Akari aurait voulu lui dire quelque chose, mais ses lèvres avaient beau bouger, elles ne sortirent pas pour autant un mot. Le fait qu’Osore lui est avoué ses sentiments la rendait étrangement bien mais aussi effrayée, car pour elle, l‘amour était un sentiment inconnu et qu’elle n’avait jamais connu dans sa vie, car pour elle l‘amour n‘était pas une chose vitale et importante, car son travail était la chose la plus importante à ses yeux, jusqu’à ce jour et peut-être que le fait, qu’elle ressentait les mêmeq sentiments envers son égard, la mettait plus bat que terre, en ce moment et elle avait vraiment dû mal à se ressaisir de ce qu’elle venait d’apprendre.

O … Osore … je … enfin … Je …

Elle n’eut même pas le temps de faire une phrase, car son regard c’était posé sur son visage, elle attarda surtout son regard sur ses joues légèrement rougissantes, il était si mignon, et elle le trouvait vraiment attachant, et elle avait vraiment envie de le serrer dans ses bras, pour ne jamais n’en ressortir. Elle avait ce besoin de le protéger et de le rassurer. Et sachant avec l’expérience d’une de ses amis, que ce déclarer n’est pas une chose facile et qu’on se sent très gêner et légèrement affaiblie mais qu’après on se sent mieux après avoir tout dit à cette personne, mais qu’on y ressent de l’appréhension en ne sachant pas si l‘amour est réciproque ou non. Akari ne pu s’empêcher de lui sourire, et son regard était devenu doux et très chaleureux, empli d'amour et de compréhension mais Osore ne le voyait pas ses réaction sur son visage. Il était amoureux d’elle, et elle aussi était amoureuse de lui … mais pourquoi s’excusait-il ce n‘était pas la peine du tout. Akari ne se retenait plus, et s’avança vers lui tout en passant un bras autour de ses épaules et l’autre autour de son dos, avec sa main droite elle la posa derrière sa nuque et elle posa le visage d’Osore près de sa poitrine, il pouvait même, entendre son cœur battre fort pour lui après ce qu’elle venait d’apprendre. Akari ne fut plus du tout gêner et elle posa ses jambes de chaque côté de sa taille posant ses cuisses sur celles d’Osore. Elle lui caressait les cheveux puis avec on index elle se mit à caresser son oreille, posant ses lèvres sur son front, lui volant un bref baiser. Elle devait parler, et elle allait le faire après avoir prit une forte inspiration et elle lui dit calmement mais tout en gardant cette timidité qui se faisait ressentir dans le timbre de sa voix.

Osore … ne crois tu pas aussi, qui ma façon d’avoir ce besoin vitale d’être auprès de toi, pouvait faire clairement comprendre, que je pouvais à la place de te détester, éprouver des sentiments beaucoup plus fort, et d’amour envers toi ? Mais j‘avoue … qu’au début je ne voulais pas le niée et encore moins l‘accepter … mais l’amour on ne le commande pas, et j’avoue que moi aussi, je suis amoureuse de toi, et que c’est une sensation agréable et qui me réchauffe le cœur de savoir que tu m’aimes aussi comme moi je t’aime. Il n’y a pas d’âge pour aimer, la haine n’est pas aussi éloigné que l‘amour … et j’avoue … que je prends un plus grand plaisir et honneur de t’aimer plus quand t’étant hait …

Akari prit le visage d’Osore entre ses mains, plus ses yeux rencontrèrent celui d’Osore, sans baisser son regard et plongeant ses prunelles dans les siennes montrant clairement que ses mots étaient sincères et ils venaient du plus profond de son cœur. Akari n’était pas très douée en amour, et ne savait pas non plus comment réagir auprès de lui, elle n‘avait aucunes expériences en amour, et oui à son âge, elle n‘avait jamais connue le grand amour, et n‘avait jamais était aussi amoureuse et aimante envers un homme, mais elle était tombée amoureuse de son sous disant pire ennemi, alors qu’elle ne l'aurait jamais cru jusqu’à ce jour, faisable.
Elle posant plusieurs baisers papillons sur son visage, sur ses joues, son front et puis son nez, et en dessous sa mâchoire et près de ses oreilles, mais ne toucha pas ses lèvres, les frôlants juste avec son pouce tout en passant ses bras autour de son cou, voulant lui faire comprendre qu’elle voulait qu’il la prenne dans ses bras et que se soit lui, qu’il l’embrasse si il le voulait ou non. Elle murmura près de son oreille, tout en fermant ses yeux, respirant son odeur, si masculine et enivrante, qui réveiller son envie et sa passion et cet amour naissant pour lui, il sentait si bon que son parfum lui donnait envie de laisser son visage près de son cou et ses bras autour de celui-ci pour ne pas qu’il s’en aille loin d’elle, elle avait aussi le droit d’avoir de l'amour et d’être câliner et protéger, elle restait tout de même une personne froide et désagréable une vrais démone quand elle s’y mettait, mais elle pouvait aussi avoir le besoin en ce moment, avec lui, d’être protéger et de le protéger aussi.

Osore … ne t’excuse pas … s’il te plaît … je suis heureuse de savoir que tu es amoureux de moi, comme moi je le suis pour toi, ne l’oublie pas et n’est pas honte de ses sentiments nouveaux et naissant entre nous. Si tu es amoureux n’en est pas honte et accepte le comme moi, et faisons l‘effort et aimons nous comme nous le voulons. S’il te plaît …

Elle montrait une grande partie de ses faiblesses, mais ses faiblesses n’étaient pas déraisonnables et était compréhensibles. Osore, la comprendrait sans doute, elle en était certaine. Et puis, ce jeu était quand même bien, au final, puisqu’il avait en quelque sorte permi à eux deux de voir à quel point ils pouvaient s’aimer alors qu’il ne l‘aurait sans doute jamais cru un jour, pouvoir le dire et laisser passer les sentiments avant tout de chose.
L’air était frais, autour d’eux, mais elle appréciant d’entendre le vent autour d’eux, l’odeur de l’arbre et les feuilles tombées dans l’herbe. C’était comme être dans un autre monde et l‘odeur que dégagée ses arbres fleuris étaient une odeur très agréable et très fruité, mais pas aussi indispensable et agréable et vitale que l’odeur de celui qu’elle aimait, elle serra ses bras autour de son cou, pour approfondit l’étreinte.

Tu sens vraiment très bon, ton odeur est encore plus enivrante et apaisante que l‘odeur que dégage les fleurs de ses arbres fleurit … vraiment très bon … je me sens vraiment bien dans tes bras …